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A trop vouloir s’ouvrir, il s’est tordu
Je me prends un vent par mon parapluie
Telle une corolle vers le ciel tendue
De l’eau des nuages gris il s’emplit
D’un coup sec je le rappelle au devoir
Mais mon caban aussi s’est retourné
Sur mon visage le col s’est plaqué
A tâtons, je progresse dans le noir
Je me prends un vent par mon parapluie
Telle une corolle vers le ciel tendue
De l’eau des nuages gris il s’emplit
D’un coup sec je le rappelle au devoir
Mais mon caban aussi s’est retourné
Sur mon visage le col s’est plaqué
A tâtons, je progresse dans le noir
Il m’énerve ce môme à se moquer
Qu’il surveille donc sa belle casquette
Gonflée par le vent, elle veut tournoyer
Entrer dans la valse des pétales en fête
Le printemps se joue déjà de l’hiver
Mais c'est encore un petit joueur
Je le devancerai bien d'une longueur
Rien qu’en traversant cinq fuseaux horaires
Gonflée par le vent, elle veut tournoyer
Entrer dans la valse des pétales en fête
Le printemps se joue déjà de l’hiver
Mais c'est encore un petit joueur
Je le devancerai bien d'une longueur
Rien qu’en traversant cinq fuseaux horaires
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